Corde-serpent: quelques remarques sur la potique compare des textes philosophiques, страница 14

[7]                                                                                  ès akara, s’en sert aussi (B I. 1. 1).

[8] SS III. 66.

[9] Voir HIRIYANNA, pp. 18–44.

[10] Sur la question des relations de Gauapda avec le Bouddhisme et des différents points de vue sur le sujet voir: ISSA EVA, pp. 31–32.

[11] RYADEVA, p. 15.

[12] M%"#&'(%-VIBHAGA, p. 15.

[13] Textuellement, «qui conduit à la lettre A», cette lettre étant la dernière dans l’alphabet tibétain; elle symbolisait l’acquisition de la plénitude. On peut la comparer au sens symbolique de l’oméga grec utilisé dans des cas analogues.

[14] Il serait intéressant de comparer ce passage avec le texte de Sextus Empiricus (AM VII. 192–193) dans lequel il expose les principes de l’école cyrénaïque. Sextus y parle d’abord de la jaunisse, disant que celui qui en souffre voit tout en jaune. Ensuite, il évoque la tragédie d’Euripide «Les Bacchantes», qu’il cite d’une manière inexacte: Penthée, dont la raison s’égare, voit Thèbes en double et le soleil dédoublé.

[15] Voir le texte et la traduction anglaise du traité «Quinze étapes sur la voie du

[16] DL IX. 61.

[17] MCEVILLEY, p. 34.

[18] Voir, par exemple: ANDROSSOV, pp. 10–33.

[19] PE XIV. 18. 28. Il semble que Eusèbe ait employé ici le verbe 9#- (litt. «attiser le feu à nouveau», «faire renaître») par dérision en faisant allusion à Pyrrhon (L #:‘incandescent’, ici «roux»).

[20] Voir: CONZE .

[21] Voir, p. ex.: MÄLL.

[22] Voir: PARIBOK (1979); PARIBOK (1997); VASILKOV.

[23] MAIU IV. 2. Voir passages identiques in VC de akara.

[24] L’attribution de ce traité à Démétrius, qui dans la période la basse Antiquité était confondu avec le péripatéticien Démétrius de Phalère (380–283 av. J. C.) représente un problème particulier. Certains savants considèrent que cette œuvre aurait été écrite vers le Ier s. av. J. C. – Ier s. après J. C.; d’autres, conformément à la tradition antique, l’attribuent à Démétrius de Phalère.

[25] DE 159. 

[26] Fabulae tabulis ceratis Assendelftianis servatae, d. A. Hausrath et H.

Hunger: CORPUS FABULARUM AESOPICARUM, 2 d., Leipzig: Teubner, vol. I. 2, pp. 117–119. 

[27] Satyricon, XLV.

[28] LHALUNGPA & ROERICH, p. 268.

[29] ROERICH, vol. 4, pp. 15–16. 

[30] GERGAN,  897. On se souviendra, bien sûr, du proverbe hébreu, bien connu grâce à l’Ancien Testament : «Les pères ont mangé des raisins verts et les dents des enfants en ont été agacées» (Jérémie 31: 29; zkiel 18: 2). 

[31] BUDDRUSS, p. 166. 

[32] Ibid.  37 Ibid.

[33] A BASIC GRAMMAR OF MODERN HINDI, p. 31.

[34] LES PROVERBES DIGORIQUES, p. 169. 

[35] Ibid., p. 94.

[36] Ibid., p. 126.

[37] Ibid., pp. 126–127.

[38] AV IV. 3. 2: formule magique contre les animaux sauvages et les voleurs. Répétition mot pour mot de la même formule dans AV XIX. 47. 7 (formule magique défensive pour la nuit). 

[39] POTAPOV, p. 123.

[40] TAXAMY, p. 72.

[41] YAÏMOVA, pp. 120–121.

[42] Ibid., pp. 93–104, 135; CHERBAK, p. 130. Cf. plus haut les périphrases analogues en russe.

[43] YAÏMOVA, pp. 104–107, 135–136.

[44] Ibid., p. 115.

[45] SAT, p. 43. Les langues indoeuropéennes connaissent bien cette façon de désigner le serpent. Comparons, par exemple, le mot serpens (lat.) avec sanscrit sarpa- qui remonte à la racine sarp- (‘ramper’).

[46] VASMER, vol. II, p. 100. 

[47] ALTAÏEV, p. 4.

[48] PEÏSSIKOV, p. 126.

[49] GALDANOVA, p. 70. Cf. avec le mot grec qui, d’après le dictionnaire Souda, désigne la spire d’une corde ou bien les anneaux d’un serpent ()!            *  ).

[50] YAÏMOVA, p. 93.

[51] BOUNINE, v. I, p. 88.

[52] BOUNINE, v. I, p. 119.