Структура французского предложения. Имя существительное: род и число существительных. Артикль: определенный, неопределенный, частичный, неупотребление артикля, страница 9

39.  Quand nous ___ petits, nous ___ souvent dans un grand jardin qui ___ près de notre maison.

1. avons été, nous sommes proménés, s’est trouvé.

2. étions, nous promenions, se trouvait.

3. avions été, nous étions promenés, se trouve.

4. étaient, se promenaient, se trouve.

40.  Montrez-moi toutes les photos que vous___ .

1. avez fait.              2. aviez fait.           3. avez faites.                  4. firent

41.  Les parents de Pierre ___ il y a deux jours.

1. étaient arrivés.     2. sont arrivés.       3. arrivaient.                    4. sont arrivé.

42.  Les exercices que ___ ne sont pas difficiles.

1. j’ai faits.              2. j’avais fait.        3. j’ai fait.                       4. j’ai faite.

43.  Je (j’) ___ dans le corridor. Je (j’) ___ ma voiture du garage.

1. suis sorti; suis sorti.                          3. ai sorti; ai sorti.

2. suis sorti; ai sorti.                              4. ai sort; ai sort.

44.  Elle ___ dans le vestibule. On ___ ses bagages dans le vestibule.

1. est descendue; a descendu.               3. est descendue; est descendu.

2. a descendu; a descendu.                    4. descendus; a descend.

45.  Elle___ de son voyage. Elle  ___ sa voiture au garage.

1. est rentré; est rentrée.                        3. est rentré; est rentré.   

2. est rentrée; a rentré.                          4. rentra; a rentrée.

46.  La France s’ouvre  sur les ___ mers les plus actives de l’Europe.

1. cing.                     2. six.                     3. quatre.                         4. trois.

47.  Quel fleuve de la France est le plus long ?

1. la Seine.               2. la Garonne.       3. le Rhône.                     4. la Loire.

48.  Qui est l’auteur du roman « Tartarin de Tarascon » ?

1. Henri Barbusse.                                 3. Louis Aragon.

2. Romain Rolland.                               4. Alphonse Daudet.

49.  Quel grand écrivain français était l’ami de Maxime Gorki ?

1. Victor Hugo.                                     3. Romain Rolland.

2. Alexandre Dumas.                            4. Gustave Flaubert.

50.  Quelles montagnes forment des frontières naturelles entre la France et l’Italie ?

1. les Pyrénées.       2. les Ardennes.    3. les Alpes.                    4. les Vosges.

Прочитайте текст и выполните приведенные ниже задания.

Sophie Kovalevskaïa.

Au premier rang des femmes qui se sont consacrées avec ardeur aux sciences exactes se place la mathématicienne russe Sophie Kovalevskaïa, née à Moscou en 1850. Si on lisait ses « Souvenirs d’enfance », on serait peut-être frappé par l’épisode suivant. Elle écrit : « Lorsque,pour la première fois nous nous installâmes à la campagne, il fallut réparer toute la maison et mettre de nouvelles tentures dans toutes les chambres ; le papier manqua pour une de celles qui étaient destinées aux enfants. Il fut décidé qu’on allait en faire venir de Saint-Petersbourg. On attendit une occasion, et pendant quelques années ; la chambre resta inachevée. Un mur était tendu de feuilles lithographiées des cours sur le calcul intégral et differentiel, que mon père avait achetées dans sa jeunesse. Ces feuilles couvertes de formules attirèrent bientôt mon attention. Je me rappelle avoir passé des heures entières de mon enfance devant ce mur mystérieux cherchant à comprendre  quelques phrases isolées et à retrouver l’ordre dans lequel ces feuilles devaient se suivre. Cela finit par graver dans ma mémoire l’aspect de beaucoup de ces formules et le texte laissa une trace profonde dans mon cerveau.Plusieurs années après, quand je pris ma première leçon de calcul differentiel, avec un célèbre professeur de mathématiques, il fut étonné de la rapidité avec laquelle je saisissais ses explications, comme si je les avais sues d’avance. » C’est à l’Université de Stockholm que  Sophie Kovalevskaïa faisait des cours en 1883. L’année suivante elle fut nommée professeur. En 1888, l’Académie des Sciences de Paris lui decerma le prix Bordin. Elle avait découvert un cas nouveau dans lequel les équations differentielles d’un corps pesant, mobile autour d’un point fixe, peuvent s’intégrer.